samedi 28 octobre 2017

-Nous n'y pouvons rien




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À l'abri de l'Agya






Nous n'avons pas à travailler pour atteindre quoi que ce soit sur cette voie1 où nous allons, car ce qui doit être atteint le sera quoi que nous fassions : le train est lancé et ne s'arrêtera pas avant la fin. Nous sommes embarqués et n'y pouvons rien.







Nous pouvons tout au plus être ou ne pas être conscient de l'Unité, de sa paix profonde, de sa joie, mais même cette conscience ne peut être atteinte de façon continue. Ce n'est pas comme s'il s'agissait de trouver le saint Graal puis de le poser sur un autel, au fond d'une crypte, pour nous prosterner devant lui.









À cause du libre-arbitre nous avons le choix d'y être ou de ne pas y être, dans cette conscience de Sa Grâce. C'est à nous de décider à chaque seconde. Quand nous pratiquons le Saint-Nom2, nous n'avons plus à décider : nous sommes là où c'est le mieux.



Alors ? Comment faire pour y aller et y rester, dans le Saint-Nom ? Il n'y a qu'à suivre l'Agya3. Mais, comment avoir la motivation pour observer l'Agya avec constance ? Il n'y a rien à faire : soit vous avez envie de Lui, soit non. Quand quelqu'un n'a pas envie de quelque chose, que faire ? ''Que celle qui en a envie aille sous son regard ''. Qu'est-ce qui nous appartient ? Pas grand-chose. 



Les pratiques : Service/Satsang/Méditation
 


Si vous n'avez pas la motivation nécessaire et que vous êtes motivé à l'avoir, tout ce que vous pouvez faire c'est de prier, de pleurer, de demander... alors la soif vous vient, avec elle l'Observance4, la constance et la conscience de Sa Grâce, de Sa Guidance5 dans votre quotidien.




Bien sûr que ce n'est pas quotidiennement pareil, que votre humeur change, eh bien, que voulez-vous faire ? Que ça change ! En attendant, abritez-vous dans l'agya. Le lâcher-prise, le non-agir n'est pas le rien faire. Si la Guidance vous a prévu un chemin, des étapes agréables, c'est à vous de vous mettre en marche.



 ''Aide-toi et le ciel t'aidera* ''... ce dicton dit bien comment la Grâce, Sa Guidance agit dans l'existence du pratiquant6 : il agit, fait ce qu'il lui faut faire, son dharma7 en état de service et la Grâce donne des fruits à ces actes.



yoganand




* ''Le Chartier embourbé'' de Jean de La Fontaine (certains attribuent cet aphorisme à Ésope).


2/Saint-Nom ou Verbe : la Grâce de L'Un en action, qui donne vie à toutes choses. Ce mot dit plusieurs choses : sauf ce ''principe'' vital transcendent, divin, le Saint-Nom est aussi le nom d'une des quatre techniques de méditation (une des trois pratiques de l'agya, la Sadhàna de La Voie). Cette technique qui permet de se recentrer et, ainsi, de se connecter au Saint-Nom. Cette technique ''portable'' permet aussi le service (une autre des trois pratiques de l'agya), ou, comme disent d'autres mystiques, le ''non-agir ''. Le Saint-Nom dit aussi le feeling que l'on ressent quand notre esprit (ou mental) est conscient de lui (par la pratique de la technique). Ce feeling va de la ''simple'' paix intérieure à la sérénité, la joie, la dévotion, jusqu'à la béatitude et plus (samadhi).

3/Agya : c'est la Sadhàna de La Voie, c'est-à-dire l'ensemble de ses pratiques et préconisations. L'agya a trois pratiques : le service, le satsang et la méditation, plus les préconisations ou angas. Suivre cet agya est l'Observance. Un pratiquant suit l'agya. Pour suivre ou observer l'agya, il faut avoir reçu la Révélation (initiation) et pour ça la demander, par les pages de contact des différents blogs de La Voie.

4/Observance : c'est la pratique assidue.

5/Guidance : Grâce de L'Un en action, quand on a conscience que l'on est sur le bon chemin, à faire la même chose et que ce qui nous arrive participe d'un plan divin à notre ''bénéfice''.

6/Pratiquant : celui, celle qui a reçu la Révélation et pratique La Voie.

7/Dharma : devoir sacré. Durant l'incarnation les humains ont des devoirs, comme un père celui d'être un bon père pour ses enfants, un automobiliste d'être un bon automobiliste respectant le code de la route et les autres automobilistes. Le dharma est d'assumer ses responsabilités vis-à-vis de ceux qui dépendent de nous.

 
Des satsangs d'enseignement dans cet esprit :

-Prenez vos distances
-Plus que le calme
-Vivre en paix ou pas




lundi 23 octobre 2017

-Dieu sans visage



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Blog des satsangs

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Au centre est ta place







Je ne connais pas ton visage, Ô Seigneur sans visage ni corps, mais je sais Ta Lumière, 
Ta Musique, Ta douceur et le parfum, le goût de Ton Nectar. 
Tu m'es familier comme un père peut l'être pour son fils.








Je sais que tu n'es pas homme et pourtant je te parle même quand je ne dis rien et seul Ton regard sur ma vie motive ce que je fais. Jamais tu ne juges ni ne récompenses ou ne punis, alors pourquoi ai-je autant envie de te plaire ? La certitude de Toi donne un goût aux goûts, aux parfums et des couleurs à ce que je vois, quand je regarde ailleurs qu'à l'intérieur.









Si l'on me demande ce que je veux faire de ma vie 
je réponds que ce n'est pas moi qui fais de ma vie quelque chose, 
mais que c'est la vie qui m'a fait 
et qui continue de me faire à chaque seconde, 
que sans elle, je ne suis rien.






Je ne veux plus aller nulle part, je suis déjà arrivé, je ne désire plus rien. Tu m'as tout donné et tu me donnes encore, à chaque fois que je suis là pour recevoir. Alors ? Que me reste-t-il à faire ? Il est comme un toc en chaque être humain, ce toc, c'est celui de chercher. Que fait-on quand on a trouvé l'essentiel ? Cherche-t-on le superflu ? Je ne veux rien de plus que ce que j'ai déjà, que ce que tu me donnes à chaque instant. Chaque instant, ça me laisse une occupation : être au rendez-vous de l'instant pour prendre ma part de Toi, celle qui me revient parce que tu me la donnes.





Je sais que si j'oublie de me servir, j'en aurai encore, encore et encore, toujours. Mais, je suis jaloux de cette paix, de cet Amour qui coule en moi : je ne veux rien en rater. Le reste ne m'importe que très moyennement. La société des hommes peut vociférer, discuter, se disputer, je ne me sens pas concerné. Je sais que je me dois à ceux qui comptent sur moi, mais ils sont si peu nombreux, par Ta Grâce ! Alors, j'ai du bonheur à assumer la part qui me revient de faire attention à eux, reconnaissant en eux la part de Toi que Tu as mise partout.





Je préfère perdre ma montre qu'une seconde avec toi. 
Je perds beaucoup de ces secondes 
cependant je continue de les guetter 
par le Saint-Nom1 écouté. 
Il est comme le vent porteur des parfums de ma vie. 
Je n'ai plus de but, juste une obsession : 
ne rater aucun souffle car chacun 
porte tout le possible du monde.








Toi le disciple qui a reçu la Révélation2,
l'Observance3 est ta planche de salut 
et si tu ne sais pas toujours exactement 
ce que l'Observance peut t'apporter, 
tu sais ce que t'apporte la non-Observance 
à chaque fois que tu t'y perds, 
alors, rien ne t'oblige à t'y perdre. 
Choisis.




les pratiques : Service/Satsan/Méditation
 


Même quand on croit que ce choix nous échappe, ce n'est pas vrai : on a toujours le choix d'être ''in'' ou ''out''. Il ne juge jamais. Si tu choisis ''in'', fais-le pour de bonnes raisons, si tu te perds dans le ''out'', ne culpabilise pas, reste humble et simple. Dans le ''out'' se trouve aussi le ''in'', vois-le et simplement reviens sans plus de manières. Au centre est ta place, elle n'attend que toi.




Yoganand




1/Saint-Nom ou Verbe : la Grâce de L'Un en action, qui donne vie à toutes choses. Ce mot dit plusieurs choses : à part ce ''principe'' vital transcendent, divin, le Saint-Nom est aussi le nom d'une des quatre techniques de méditation (une des trois pratiques de l'agya, la Sadhàna de La Voie). Cette technique qui permet de se recentrer et, ainsi, de se connecter au Saint-Nom. Cette technique ''portable'' permet aussi le service, ou, comme disent d'autres mystiques, le ''non-agir ''. Le Saint-Nom dit aussi le feeling que l'on ressent quand notre esprit (ou mental) est conscient de lui (par la pratique de la technique). Ce feeling va de la ''simple'' paix-intérieure à la sérénité, la joie, la dévotion, jusqu'à la béatitude et plus (samadhi).

2/Révélation : c'est le moment où le guide montre les techniques de méditation de La Voie. C'est une initiation.

3/Observance : c'est la pratique assidue. 


Des satsangs d'enseignement dans cet esprit :

-Ne soyez pas impatient
-L'embouchure du Styx
-Amoureux



jeudi 19 octobre 2017

-Maîtriser son mental



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Sur la voie de l'agya1, approfondissant ta conscience de Lui jour après jour sans plus te poser de questions... tu l'entends le mental, appareil à penser, tu l'entends penser sans forcément lui prêter attention. Sans volontairement lui prêter attention, tu l'entends penser et se poser des questions et à force, tu peux finir par croire que c'est toi qui penses et que ses questions sont les tiennes. 

  
Quand ça t'arrive, 
cesse toute activité 
et repose ton attention 
sur le Saint-Nom2
juste pour passer 
un coup de gomme 
sur l'écran de ton esprit. 
Les pensées,
les réflexions non voulues
ne doivent pas, ne doivent jamais 
être prises en compte.




  
La confusion du mental, du vôtre et de celui de '' l'égrégore-humanité'' est presque infinie... à un epsilon près, elle l'était ! Alors vouloir se pencher sur elle, sur la vôtre, celle de proches ou d'inconnus, voir de l'humanité est vraiment présomptueux !





Réfléchir à la confusion, c'est à coup sûr plonger dans la confusion, est-ce que tu le veux ? Non, tu veux être au calme, au repos. À un moment la méditation c'est trop ? Tu satures ? Alors fais du service5 et, de temps à autre, assois-toi un moment, fermes les yeux et poses ton attention sur le Saint-Nom... après quelques instants la confusion partira.






Parfois, tu ne vois pas l'utilité de cette pause ? Mais le faux-ego3, lui, voit l'utilité de ne pas la faire et de réfléchir à tout ça tranquillement. 



Tant que tout va, ça va ! 
Mais, très vite ça va moins bien
et certainement qu'à force d'aller moins bien
ça va finir par ne plus aller du tout...
mais alors plus du tout ! 
Aussi faut-il toujours tenir les rênes du mental 
par l'Observance4
Le Saint-Nom, 
même si parfois, tu ne vois pas sa force,
le Saint-Nom te sauve
à chaque fois que tu t'en remets à Lui. 





Le mental, le cerveau se met vite à tourner et, si tu ne le freines pas régulièrement, il accélère, d'abord un peu et puis un peu plus et de plus en plus. Bientôt, il tourne trop et devient difficile à ralentir... difficile ? Pas vraiment ! Deux minutes de Saint-Nom remettent les idées en place, le cœur à une juste vitesse et le sourire aux lèvres. 



Parfois, on peut se poser légitimement la question 
si de faire ça vaut vraiment le coup, 
mais quand il s'agit du Saint-Nom 
ce n'est même pas la peine de se poser la question : 
ça vaut toujours le coup !

Yoganand
 
 

1/Agya : c'est la Sadhàna de La Voie, c'est-à-dire l'ensemble de ses pratiques. L'agya a trois pratiques ; le service, le satsang, la méditation et des considérations morales, les angas. Suivre cet agya est l'Observance. Un disciple suit l'agya. Pour le suivre il faut avoir reçu la Révélation (initiation) et pour ça la demander au guide par les pages de contact des différents blogs de la voie.

2/Saint-Nom ou Verbe : la Grâce de L'Un en action, qui donne vie à toutes choses. Ce mot dit plusieurs choses : sauf ce ''principe'' vital transcendent, divin, le Saint-Nom est aussi le nom d'une des quatre techniques de méditation (un des quatre piliers de l'agya, la Sadhàna de La Voie). Cette technique qui permet de se recentrer et, ainsi, de se connecter au Saint-Nom. Cette technique ''portable'' permet aussi le service (un autre des piliers de l'agya), ou, comme disent d'autres mystiques, le ''non-agir ''. Le Saint-Nom dit aussi le feeling que l'on ressent quand notre esprit (ou mental) est conscient de lui (par la pratique de la technique). Ce feeling va de la ''simple'' paix-intérieure à la sérénité, la joie, la dévotion, jusqu'à la béatitude et plus (samadhi).

3/Faux-ego : c'est ce que la plupart des gens nomment l'ego. Or, si l'ego est une Grâce donnée à l'âme par L'Un, pour qu'elle puisse s'incarner et avoir conscience d'elle-même, le faux-ego est la ou les conséquences d'un mental confus, une sorte d'égrégore fait de tout ce qu'une conscience mal identifiée provoque via le mental, c'est-à-dire tous les défauts habituellement imputés à l'ego et toutes les méchancetés, les cruautés, le mépris, l'indifférence, l'inconscience coupable dont l'espèce humaine est capable aussi (en plus des bons côtés). Certains le nomment diable, ce mot signifie (via le latin) ''celui-qui-sépare''. Il sépare qui ou quoi de qui ou de quoi ? L'âme de Dieu (selon les déistes et l'esprit de la pleine conscience pour les autres).

4/Observance : c'est la pratique assidue des piliers de l'agya, la sadhàna de La Voie. 
 
5/Service : une des trois pratiques de l'agya. Le service est la méditation en action, c'est-à-dire faire ce que l'on a à faire tout en pratiquant une des techniques (au nombre de quatre) révélées le jour de l'initiation (Révélation). Cette technique est ''portable'' et personne ne peut remarquer qu'on la pratique. Elle permet de garder le mental sous contrôle et, ainsi, d'arriver à la méditation ''formelle'' (un autre pilier de l'agya) déjà préparé. De plus, comme le service fait partie de l'agya, un disciple aura à cœur de l'observer. On dit que la Grâce vient quand on est dans l'agya.



 

dimanche 15 octobre 2017

-Accepte ces moments de Grâce




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Sais-tu que tu n'es pas seul cette nuit ? 
Qu'en toi réside Son sourire ? 
La force des apparences est si grande 
que les yeux qui se tournent vers elles 
en sont aveuglés au point 
de ne voir plus qu'elles.




 
Le temps des Hommes, rythmé à grands coups de pendules et de calendrier, fait que l'on se sent vieillir et dépassé, comme rapetisser à son fil passant. Pourtant l'éternité règne depuis toujours sur l'instant qui ne passe pas, qui est et qui reste présent toujours.




Accepte de sourire, accepte de ne plus souffrir et de laisser sa douceur effacer l'acide de ta fatigue. Le dharma est lourd à porter quand on a soif de légèreté et que l'impatience nous fait insupporter les délais qui s'allongent.


  

Pourtant 
dès maintenant, tu peux, 
si tu le veux, 
si tu le crois, 
si tu le fais enfin, 
fermer les yeux 
et t'apercevoir encore 
du Saint-Souffle1
 qui entre et qui sort de toi 
doucement, imperturbablement
 à l'abri du peut-être 
et de la confusion du monde.




  
Simplement cesse de réfléchir, cesse de craindre, cesse de vouloir ce que tu ne peux avoir, d'espérer en un autre que toi qui n'es pas Lui pour trouver ce bonheur déjà là et que tu ne vois plus parfois. Même si ça ne doit pas durer tout le temps, accepte de te rendre à l'endroit de la paix intérieure, au centre stable où le vide de pensée est plein de Sa conscience.

Il t'aime, il n'aime que toi, sois en sûr. Seulement toi peut aller au milieu de toi, l'y retrouver et souffler un peu. Demain sera un autre temps, un autre temps des horloges et des calendriers, en attendant demain, il reste maintenant où ta soif est si forte.





  

Laisse la te guider 
vers la satisfaction de L'avoir retrouvé, 
vers l'enfance revenue 
pour l'éternité d'un clignement de Conscience, 
entre deux pensées 
pleines de craintes et d'incompréhension.








  
Des éclats du monde des hommes, de leur confusion viendront encore te toucher, mais ils ne pourront jamais aller aussi profond que ta soif de Lui, alors sois rassuré et accepte ces moments de Grâce où tu ne veux que Lui.
 


Yoganand 
 


1/ Saint-Souffle : Autre nom pour dire Saint-Nom ou Verbe. Certains parlent du pràna mais ici, il ne s'agit pas de ça ni de prànàyàma à proprement parler, car il n'y a aucune maîtrise, ni tentative de maîtrise du souffle dans l'expérience du Saint-Nom.



Des satsangs d'enseignement dans cet esprit :

-Accepter sans fatalisme
-Lâchez le volant 
-Lézarder à Sa Lumière




mardi 10 octobre 2017

-Les tempêtes cessent toujours




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Seigneur... je te trouve chaque fois que je te cherche et je te cherche chaque fois que je m'aperçois que je ne fais plus attention à toi. Tu as mis un peu de toi au fond de mon cœur et je sais comment m'y rendre pour profiter de Ta paix.

La vie dans le monde des Hommes est parfois bien ingrate, tant de souffrances, tant de bêtise et ce manque d'amour qui me blesse. Avec ton regard que je sens posé sur moi, je suis à l'abri de la peur, de la peine et je me sens plus fort.


 


La tempête peut souffler, mon bateau peut être secoué comme un fétu de paille au milieu d'un torrent, je ne coule pas, car tu as mis, au fond de mon cœur, un peu de toi, et ce peu est beaucoup !

La tempête se calme toujours, elle s'en va comme elle est venue ; sans prévenir et parce que je n'ai pas lâché ton petit doigt, j’accueille ce calme revenu avec toute l'attention qu'il mérite.




    
Le calme revenu, la paix retrouvée, je ne veux plus la quitter même si le poids de mon humanité fait que je tombe souvent. Je me relève autant de fois que je tombe et c'est Ton Amour pour moi qui m'aide chaque fois à me relever.
 




Je voudrais tant être meilleur pour mériter Ta Grâce, mais je sais que seule Ta Grâce peut faire de moi une meilleure personne, alors je m'abandonne, chaque fois que j'y pense, chaque fois que j'ai le loisir de me donner, je m'abandonne à Ta douceur et elle fait comme du miel sur mon âme.






Sans Ta Lumière le monde est moins beau, 
sans Ta douceur, il est moins heureux
 et j'aime la lumière, 
j'aime la douceur...
Je suis douceur, au fond
et cette douceur que j'ai rejointe
est celle que tu mets en moi à chaque instant...
Ce que j'ai de plus beau 
je te le dois 
et je ne peux te le rendre,
tu n'en as pas besoin. 
Tout ce que je peux faire, 
pour te remercier 
c'est profiter de tes cadeaux, 
en profiter jusqu'au bonheur.




Parfois j'ai peur d'être heureux,
comme si le bonheur 
était un oiseau timide qui s’envolait 
au moindre geste vers lui. 
Il va bien falloir que je prenne conscience 
que le bonheur de Toi n'est pas timide 
et qu'il ne s'envole pas, 
ou alors en m'emportant avec lui. 
À force de m'en rendre compte 
je vais bien finir par en être convaincu ! 




En attendant ce jour, je veux rester dans l'instant et que cet instant soit avec Toi, en conscience de Toi. Pour ce faire, j'ai l'agya1 , ses piliers qui rythment ma vie et la parole vivante, pour me dire quand je me trompe, quand je m'égare encore sur des chemins de traverse qui ne vont pas vers toi.
 

Ma peur est encore cachée, prête à me reprendre, mais je ne désespère pas qu'elle s'en aille définitivement, en tout cas, je sais comment lui tourner le dos maintenant.


Yoganand 
 


1 : Agya : c'est la Sadhàna de La Voie, c'est-à-dire l'ensemble de ce qui fait sa pratique, ici, il s'agit du service, du satsang, de la méditation et des angas. Le service est la méditation en action, le satsang est la lecture ou l'écoute des satsang du guide ou des disciples consacrés qui peuvent donner satsang. Ce sont des monologues inspirés de l'expérience du Saint-Nom.



Des satsang d'enseignement dans cet esprit :

-Le soleil brille encore
-Chaque jour est nouveau
-Soif de paix